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19 juin 2011 7 19 /06 /juin /2011 09:38

 

 

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Une randonnée ou une course d'alpinisme, c'est avant tout un lieu, des individus et des conditions météorologiques ! Ces dernières étant l'élément où l'on a le moins d'emprise.

 

Pour cette sortie, nous n'étions que deux Mick et moi, je souhaitais (initialement) faire une course d'alpinisme. J'avais opté pour le Pic de l'Etendard ou le Pointe de la Galise. Il ne me restait plus qu'à scruter les prévisions météo. Et jusqu'au tout dernier moment j'ai été indécis, pour finalement choisir les Alpes Grées (ou Graies) et le secteur de la Galise.

 

En effet, cela laissait l'opportunité de varianter sur les cols de la Galise ou de la Lose en cas d'intempéries (et ce fut une bonne décision!).

 

Même si les prévisions ne sont pas optimistes, je passe un coup de téléphone au refuge du Prariond afin de voir si, à tout hasard, il n'est pas complet ! « Le refuge est fermé jusqu'à la mi juin annonce le répondeur ». Je téléphone directement au gardien qui me confirme qu'il ne compte pas monter ce vendredi mais demain car il a déjà 20 résas. Il me confirme que le refuge d'hiver est ouvert.

 

C'est donc dans ces conditions que nous partons sur Val d'Isère. C'est un peu le bout du monde quand même. Pas grand monde dans la station, une marmotte traverse juste devant nous. Les vaches broutent une herbe bien grasse. Le parking du « Pont St Charles », est déjà là.

 

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Nous nous équipons rapidement car nous préférons de pas prendre la pluie dès ce soir (sachant qu'il y a de grandes « chances » de l'avoir demain). Le parking est vide, seuls deux camping car, nous devrions avoir le refuge pour nous.

 

Le sentier monte tout de suite, et rapidement nous entrons dans le Parc National de la Vanoise et parcourant les gorges de Malpasset. Le sentier est taillé à flanc de montagne, il faut être prudent. « Malpasset » vient d'ailleurs de Mauvais pas.

 

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Nous débouchons ensuite sur la vallée en auge du val de l'Isère. Deux chamois broutent dans l'herbe. Une stèle au milieu de cette vallée rappelle que « le 09 novembre 1944, 24 soldats américains et 12 partisans italiens engagés dans la lutte pour la liberté périrent victimes de la montagne ».

 

Panorama Prariond

 

Un autre chamois part en courant alors que nous arrivons au refuge.

 

Refuge du Prariond

 

La porte d'entrée est ouverte laissant accès au réfectoire et à la cuisine hors sac. Nous ne trouvons pas tout de suite la porte permettant l'accès à l'étage !! c'est donc par l'extérieur que nous entrons à l'étage avant de redescendre par l’escalier intérieur. Bon nous avons des couvertures, de l'eau au bachal devant le refuge, et accès au gaz.

 

Il ne manque rien. Nous faisons une petite flambée dans le poêle afin de réchauffer la pièce du bas. Au début on enfume un peu la pièce … et parfumons nos habits ! Puis de belles flammes viennent enlacer les morceaux de bois déposés dans l’âtre.

 

Dehors des bouquetins courent, combattent sur la crête qui domine le refuge. Leurs silhouettes se détachent dans le ciel gagné par la pénombre.

 

Il est temps pour nous de manger nos nouilles chinoises (ou japonaises), d'avaler un morceau de fromage, un dessert.   

 

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Je décide de programmer le réveil à 04h30. Et si il ne fait pas beau de rester couchés jusque 05h30. On s'installe dans le dortoir traversé par le conduit du poêle, espérant profiter d'un peu de chaleur. Peine perdue, le conduit est trop bien isolé.

 

Il est 21h30, il est grand temps de dormir. Emmitouflés dans nos draps de soie, et les couvertures du refuge, nous partons dans le monde de Morphée. 

 

04h30, déjà ! Je me lève dehors il pleut et tout est enveloppé d'un épais brouillard. Allez Mick on se remet au lit. Finalement on se rendort très vite et c'est la montre de Mick qui a 05h40, nous fait sortir du lit. Le brouillard a disparu … pas la pluie.

 

On repli les couvertures, on fait chauffer le café et le thé, on avale quelques biscuits. Dehors la pluie n'a pas cessé et les crêtes sont prises par la brume. 

 

La décision est prise d'aller plutôt du côté des cols de la Galise et de la Lose. Nous laissons nos sacs à dos, et partons équipés Gore-Tex et poncho. Le sentier serpente au dessus du refuge. Nous ne tardons pas à retrouver la harde de bouquetins de la veille. Cet animal est peu farouche pour peu qu'il ne soit pas dérangé.


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Sous la pluie battante, ils sont mieux équipés que nous pour lutter contre le froid. Nous débouchons sur un petit plateau où ont été érigés de superbes caïrns. Malgré tout difficile, dans cette purée de pois de suivre le sentier ! Je voulais aller sur le col de la Galise mais finalement on a marché entre les deux sentiers.

 

Malgré le Gps, et la carte difficile de se situer. Le vent s'est levé à l'approche des crêtes franco-italiennes, le froid devient de plus en prenant, il ne manque vraiment pas grand chose pour que la pluie devienne neige.

 

Dans ces conditions, on essaye d'atteindre l'objectif des 3000 m. Finalement ce sera 2 990m sur l'alti de Mick, un peu moins sur mon Gps. Et finalement nous nous sommes retrouvés au dessus du col de la Lose … ou pas très loin. Pas vu de table d'orientation depuis la crête qui domine le col. Le versant italien est très abrupte.

 

Il fait vraiment très froid et nous repartons tout de suite. Nous récupérons nos traces et perdons rapidement de l'altitude. L'onglet est bien installé. Les bâtons sont glacés et ne facilite pas son départ. On fait quelques pauses afin de réchauffer nos doigts meurtris par le froid.

 

Sur le plateau plus bas, nous trouvons la pancarte marquant la séparation entre les sentiers des col de la Galise et de la Lose (pas vu à la montée). Le soleil fait alors une petite apparition.


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Durant quelques secondes, l'idée nous est venue de remonter sur la crête. Mais le retour rapide du brouillard et de la pluie, nous ramène à la raison.

 

Il faut rentrer. On retrouve quelques bouquetins dans le même secteur que tout à l'heure. Plus bas le refuge nous accueille de nouveau. Finalement nous avons mis 2h30 pour l'aller/retour. Nous n'avons trainé.

 

On se fait chauffer un café, on grignote de nouveau quelques gâteaux et on finit la tablette de chocolat.

 

On glisse le montant de la nuitée sous une porte fermée à clé (nous n'avons pas trouvé le tronc prévu à cet effet, qui après renseignements pris auprès des gardiens est du côté de la cuisine hors sac. La nuitée est de 8€, 5€ pour les moins de 25ans).

 

Il ne pleut plus nous en profitons pour repartir sans les ponchos complètement trempés. Et en moins de 30 minutes nous parvenons au parking.

 

Alors que nous nous déséquipons, un couple d'un des deux camping cars présents sur le parking depuis hier soir, nous demande quelques renseignements sur les conditions météorologiques rencontrées. Devant le tableau décrit, ils décident de ne pas monter !

 

Bilan : un superbe vallon qui mérite que l'on y revienne dans de meilleurs conditions. La faune et la flore sont dignes d'un Parc National. Le refuge du Prariond n'est pas de toute première jeunesse, c'est un refuge à l'ancienne.

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2 août 2010 1 02 /08 /août /2010 17:17

  Sommet Dard

 

Nous sommes de retour à Pralognan la Vanoise pour cette nouvelle sortie « alpinisme ». Nous retrouvons le même magasin pour la location des crampons et piolets de Jean-Claude et Pierrette. Mick et moi sommes déjà équipés.

 

Nous partons cette fois vers les glaciers de la Vanoise, plus précisément au nord de ceux-ci pour la Pointe de la Réchasse ou la Pointe du Dard. Je n'ai pas encore décidé. Mais j'ai une préférence pour le 2ème sommet qui offre plus de progression sur glacier. Mais l'itinéraire est commun sur les 2/3, on pourra attendre le dernier moment pour se décider.

 

Pour l'heure, il est décidé de prendre le téléphérique du Mt Bochor (histoire de gagner quelques dénivelés), et puis c'est l'occasion pour Mick de prendre ce type de remontées. On prend la benne de 10h30 et nous voilà transportés à 2 000 m.

 

On finit de se préparer, difficile de savoir comment s'habiller. Le soleil joue à cache-cache avec les gros nuages, et l'amplitude thermique est importante. On trouve facilement le sentier qui nous amène au refuge des Barmettes. Nous ne sommes pas encore dans le parc national mais c'est ici que l'on est informé de sa réglementation.

 

Nous découvrons un joli sentier, avec un petit muret en pierres sèches de part et d'autre.

 

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L'ascension devient un peu plus dure à hauteur des chalets de la Glière où un troupeau de vaches se délecte de l'herbe bien grasse des lieux.

 

Le ciel est cette fois très couvert et l'on supporte la petite polaire. Nous arrivons enfin au lac des Vaches. Son passage à guêt est l'attraction du coin. Il a du être pris en photo sous tous les angles ! Mais c'est vrai que c'est très joli. C'est un peu abrités du vent que nous pique-niquons. Nous ne sommes pas les seuls. Il faut dire que c'est peut être l'endroit le moins venté. Mais nous sortons quand même les vestes et même le bonnet.

 

Une Accompagnatrice en Moyenne Montagne explique à son groupe que l'origine du nom (la toponymie) « vaches » n'a aucun rapport avec les bovins ! Elle explique que la racine viendrait de « passage à guet ». Moi j'ai trouvé ces explications : soit « le lac des sources » car vaches dérive de « batz » soit « le lac abandonné » car vaches dérive en latin de vacua qui signifie abandonné, vide (donc si il est vide on peut passer dessus, à guet … vous me suivez ?). Quoi qu'il en soit pas de bêtes à cornes ici.

 

A notre tour, nous traversons le lac et attaquons les lacets au dessus. Finalement ils semblaient être plus difficiles que cela vus du bas.

 

 

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Nous sortons au dessus du lac long malheureusement la Grande Casse est recouverte d'une épaisse brume. On en profite pour regarder la Réchasse, le site du col de la Vanoise et son refuge où nous allons passé la nuit. Il n'est que 14h00. Cette 1ère journée a été relativement tranquille.

 

Les dortoirs n'étant ouverts qu'à 15h, nous allons voir d'un peu plus près l'itinéraire de demain matin. S'agissant d'un départ de nuit, à la frontale, il est conseillé de le faire. On voit quelques cordées qui descendent, et nous leur demandons des renseignements sur les conditions.

 

Après avoir bu un « yogi tea », feuilleté quelques magazines, une partie ou deux de Abalone, nous récupérons notre dortoir. 12 couchages numérotés pour un réveil à 04h00. Les couettes sont humides, mais nous parvenons quand même à nous assoupir une petite heure.

 

Vers 18h15, nous retournons au refuge, attendre leur du repas (18h45). Le repas est copieux (soupe, blanquettes de veau, tome de Savoie, Crumble). Après celui-ci nous réglons notre ½ pension. Puis une petite sortie autour du refuge où la faune est de sortie (chamois, marmottes et harde de bouquetins). 

 

 

Puis nous allons rapidement nous coucher. Ce sommeil gagné permettra de limiter la carence de sommeil due à un réveil à 04h00 et à deux ronfleurs particulièrement en forme !

 

Après un bon petit déjeuner, nous quittons le refuge, frontale vissée sur le front. Nous retrouvons facilement le début de l'itinéraire (les deux tuyaux d'eau) repéré la veille. Pour le reste, c'est plus délicat. Dans l'obscurité les cairns ressemblent de loin à des rochers ! Derrière nous les cordées que nous pouvons suivre grâce à leur frontale, et puis plus bas le refuge dont la lumière de la salle à manger attire le regard comme un phare en pleine mer.

 

La sente n'est pas très marquée ! La progression est toujours difficile dans ce type de conditions : la marche n'est pas régulière, il y a des blocs a escalader, a redescendre, des grands pas à faire puis des petits, pas de rythme, car l'obscurité empêche d'anticiper ! Bon on parvient quand même à cheminer à travers ce dédale jusqu'au glacier de la Réchasse. Nous chaussons les crampons, enfilons les baudriers, et sortons la corde.

 

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Mick a quelques soucis avec ses crampons neufs mais tout cela rentre vite dans l'ordre et à hauteur du point côté 3044, le glacier de la Roche Ferran apparaît, la pointe du Dard et le Mt Pelve s'embrasent à la faveur du levé du soleil. Spectacle grandiose, nous sommes les 1ers, le désert blanc devant paraît étrangement calme.

 

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Après quelques mètres, je décide de mettre tout le monde en sécurité. Corde sortie, nous progressons en cordée.

 

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Le piolet reste accroché au sac, les bâtons à la main, il faut trouver « LE » rythme. Celui qui fera que tous parviendront au sommet. Le soleil sort, c'est dans plus en plus beau. Derrière la Grande Casse qui s'était cachée hier, est dressée laissant apparaître son glacier suspendu.

 

Au fur et à mesure que nous progressons la vue s'ouvre au sud : les Sonnailles, Chasseforêt. C'est à 08h00, que nous atteignons le cairn sommital de la Pointe du Dard (altitude 3204m). Il fait frais. On ne s'attarde pas, la photo de groupe, on regarde deux cordées monter depuis le cirque et le glacier du Dard, des diaporamas.

 

panorama poite du dard recouper 2panorama vue sommet pointe du dard

Juste sous le sommet, nous dégustons une bonne Chartreuse, et mangeons pas mal de gâteaux. Les autres cordées arrivent les unes après les autres. Pouor nous c'est déjà l'heure de repartir, toujours en cordée, c'est Mick qui ouvre la marche. Il n'est pas trop crevassé ce glacier. On tire vers la Pointe de la Réchasse. On croise un couple rencontré la veille, ils montent au Dard puis à la Réchasse. Ça me trottait aussi cette idée. C'est vrai ce serait bête d'être au pied de la Réchasse (de la Vierge) et de ne pas y monter ! « Bon Mick, ça te tenterait pas d'y aller ? ».

 

Et nous y voilà partis. Pierrette et Jean-Claude redescendent tranquillement en cordée et nous attendrons à l'endroit où nous nous sommes équipés ce matin.

 

La Réchasse est une petite course entre terrain morainique et grandes dalles sur sa partie finale. On se tire la bourre et on parvient au sommet en 15'. Un 800m/h y avait longtemps que je ne m'étais pas mis une telle bavante. C'est vrai que le Mick y poussait aux fesses !

 

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Du sommet de La Réchasse, nous avons une vue superbe, sur le vallon de la Leisse, de la Rocheure, et puis d'autres sommets Dent Parrachée, Pointe de la Sana … le top encore une fois.

 

panorama vue de la r+®chasse panorama vue de la r+®chasse 2

  panorama vue de la r+®chasse 3

 

Un guide est arrivé en même temps que nous avec un papa et ses deux enfants. Les petits bouts on peut être 10/12 ans belle performance. Avant de redescendre il me demande de prendre leur photo souvenir avec la vierge en arrière plan.

 

La descente est toute aussi rapide que la montée. On rechausse sur le glacier les crampons et on retrouve JC et Pierrette, un peu plus bas. La descente sur le col de la Vanoise est plus facile car le soleil a fait fondre les ruissellements glacés sur les rochers.

 

 panorama grande casse 

Une poule est dérangée alors qu'elle se baladait avec son petit. Elle nous attire loin de son petit, sans prendre son envol en courant. Instinct maternel, animal ! Nous n'avons pas trop vu, l'espèce. Mick aurait vu du blanc vers la queue, et moi un peu de rouge vers l'œil ! Lagopède ? Mystère !

 

La flore est encore en pleine essor, et les pollinisateurs sont de sortis aussi.

 

Nous ne repassons pas par le refuge, mais par le lac (asséché) des Assiettes. S'en suit une longue, très longue descente jusqu'au parking des Fontanettes. Heureusement, les paysages sont toujours aussi beaux. Mick et moi, partons devant récupérer la voiture au village et retrouvons JC et Pierrette aux Fontanettes.

 

Bilan : Fin de cette 2ème course alpine en Vanoise. Comme toujours je remercie mes amis pour la confiance qu'ils m'accordent à chaque fois. Quelques chiffres : 24,8 kms, 1620m + et 2200 - pour les 2 jours.

Le Parc National de la Vanoise nous a encore une fois donné le plus beau.

 

Patrimoine : Le col de la Vanoise est un des passages les plus anciennement fréquentés du massif. Voie de communication et d'échanges entre la Maurienne et la Tarentaise au début, puis entre la France et l'Italie par la suite. Les produits d'Italie (froment, riz, maïs, pommes de terre mais aussi épices et étoffes venant de Gênes et Venise) croisaient les cuirs tannés, le miel et les troupeaux de Tarentaise destinés aux foires du Piémont.

 La route du sel et des tommes : Le commerce du sel, alors seul conservateur, était très réglementés. Aux XVIIIè et XIXè siècles, le Duché exportait du sel des Salines Royales de Moutiers et en importait d'Aigues-Mortes et Gênes, alimentant ainsi un trafic d'Etat avec la Suisse et la contrebande vers la France. Suite au rattachement de la Savoie à la France en 1860, les salines fermèrent. Fromage des alpages créé vers 1630-40, le Beaufort, aliment "de garde", essentiel aux marins et aux soldats, était exporté vers le Dauphiné et le Piémont. Issus des alpages du Beaufortain, de Pralognan, Champagny, du Mont Jovet et du col du Palet, les meules transitaient par le col pour être prises en charge par des grossistes et revendues dans le Piémont.

De rudes conditions de passage : Durant le "petit âge glaciaire" (1550-1850), la traversée du col s'effectuait principalement aux beaux jours. Les voyageurs qui s'aventuraient en hiver ou par tempête, étaient guidés par des poteaux de bois (implantés en 1833-34 et encore visibles !) et, jusque vers 1950, par la corne des Barmettes, actionnée par une éolienne. Même en été, il fallait traverser le glacier : celui de la Grande Casse surplombait l'actuel lac des Vaches en barrant le vallon ! Le recul sensible des glaciers ne s'amorça qu'à la fin du XIXè siècle.

 

*************

 

Suite à ce que j'avais pu lire dans le réfectoire du refuge du col de la Vanoise, sur la mise en place d'une pharmacie de secours, sur la formation en secourisme, qui avait été dispensée au gardien ... J'ai ajouté un lien pour l'association : Pharefuge, créée en Décembre 2005, à l'initiative d'un Infirmier et d'un Médecin du SAMU 73 à Chambéry.

Le but de l'Association est de :former les gardiens des refuges à certains gestes d'urgence, fournir une pharmacie " de campagne " régulièrement entretenue aux gardiens, permettre d'obtenir 24h/ 24 des avis et de prescriptions médicales auprès des centre 15, éviter certains secours héliportés et pédestres.

N'hésitez pas à vous rendre sur le site et à éventuellement soutenir cette association.

 

*********

 

 : Cette sortie se déroule en terrain glaciaire nécessitant du matériel spécifique (crampons, piolet, baudrier ...). Cette course ne répond pas aux prérogatives de l'Accompagnateur en Moyenne Montagne, diplômé d'état.

Si vous êtes intéressés par ce type de randonnée, veuillez-vous adresser à un Guide de Haute Montagne seul professionnel habilité à vous y conduire. 

 

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